Vous trouverez ci-après les réponses aux questions les plus fréquentes sur la formation et le métier de policier/policière.
Non, c’est malheureusement impossible. Toutefois, nous organisons régulièrement des visites guidées, des journées portes ouvertes ou des actions passeport-vacances pour vous donner un aperçu du métier. Nous sommes également souvent présents à des foires ou manifestations.
Non, c’est impossible pour des raisons de sécurité et de protection de données. Si vous vous intéressez au métier de policier, vous pouvez volontiers venir jeter un œil à l’une de nos manifestations.
Non, seuls les citoyens et citoyennes suisses peuvent postuler.
Pas nécessairement. Nous accordons toutefois une grande importance à la maturité et à l’expérience de vie. Il est souhaitable d’être au bénéfice d’une expérience professionnelle avant de présenter sa candidature.
Si vous travaillez en uniforme ou en tenue civile, les tatouages suivants ne sont pas admis:
- tatouages sur le visage,
- tatouages couvrant une grande surface des mains, du cou ou de la nuque,
- tatouages avec des motifs à caractère illégal, discriminant, prônant la violence ou autrement contraires aux valeurs de la Police cantonale bernoise.
En cas de doutes, veuillez télécharger un document PDF dans votre dossier de candidature contenant une photo du tatouage, en y expliquant la signification et en précisant la partie du corps concernée.
En tant que collaborateur/collaboratrice, vous êtes tenu, sur demande, de nous informer de la représentation et signification de votre tatouage. Lors d'engagement de représentation, notamment dans les écoles, vous devez recouvrir les grandes surfaces tatouées. D'autres règles peuvent être appliquées individuellement.
Le port de bijoux voyants n'est pas autorisé en service. Notamment pour des raisons de sécurité, vous devez retirer vos piercings lorsque vous travaillez, sauf les boucles d’oreille et piercings discrets au nez. Pour des raisons de sécurité également, les tunnels d'oreille sont interdits.
Vous êtes souvent confronté à des situations difficiles telles que la violence, les accidents avec blessés graves ou la mort. Vous devez donc être très résistant psychiquement. Lorsque nos collaborateurs et collaboratrices ont des difficultés à gérer de telles situations, ils peuvent se tourner vers notre service psychologique.
Les horaires de travail irréguliers et les tournus peuvent aussi représenter une charge supplémentaire. En effet, les policiers et policières travaillent souvent de nuit ou le week-end. Ils doivent donc être en forme physiquement et faire preuve, ainsi que leur entourage, de flexibilité.
Non. Vous devez avoir au minimum quatre ans d'expérience de policier/policière après la formation de police. Ensuite, vous pourrez postuler à la police judiciaire.
Vous devez travailler au moins deux ans comme policier/policière et, ensuite, vous pouvez postuler pour la fonction annexe de conducteur ou conductrice de chiens. Dès le début, le chien vit chez vous et, ensemble, vous investissez beaucoup de temps dans la formation.
Informations sur les chiens de service de la Police cantonale bernoise